La
terreur du 21ème siècle n’a pas encore fini de faire parler d’elle. Face
à cette menace, les dirigeants des pays ne cessent de prendre des mesures pour
la protection des populations. Il en est de même pour la République
Démocratique du Congo qui vit un état d’urgence depuis le mardi 24 mars 2020, décision
annoncée par le Chef de l’État lui-même, Félix TSHISEKEDI TSHILOMBO.
L’état
d’urgence est un régime exceptionnel adopté par un gouvernement en cas de péril
imminent d’un pays. Pendant cette période, certaines restrictions aux libertés
fondamentales sont observées. En RDC, l’état d’urgence est décrété par le
Président de la République conformément aux dispositions des articles 85 et 144
de la Constitution.
Les
avions, navires et autres moyens de transports (Camions, bus, minus bus…)
constituent encore un risque de contamination au COVID19.
Les
dirigeants qui estiment que les citoyens condamnés à rester dans les régions déjà
menacées par la maladie doivent rentrer au Pays, prennent de grands risques au
moment où des efforts sont conjugués pour réduire sensiblement la propagation
du virus.
Une
étude (que je joins ICI) renseigne que le virus (similaire) peut durer des
jours avant d’être détruits. En plus, une analyse personnelle, au regard des
tests effectués, me pousse à croire qu’une personne infectée aujourd’hui peut
propager le virus aussi longtemps que les symptômes ne se manifestent pas.
Étant donné que les marchandises sont soumises à une manipulation humaine, les avions,
navires, véhicules… le danger est permanent.
Dans
cette logique, la République Démocratique du Congo comme nul autre pays ne
devrait autoriser les rapatriements des expatriés en cette période de
confinement pour les uns et en état d’urgence pour d’autres.
Invention
ou naturel, le COVID19 est réel et aucune négligence d’État ne devrait être commise.
KITWAMBI MUFUNGA Jean-Baptiste
Politologue et Blogueur
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