samedi 28 mars 2020

AVIONS, NAVIRES ET AUTRES MOYENS DE TRANSPORTS, DANGER PERMANENT DE PROPAGATION DU COVID19

 
 La terreur du 21ème siècle n’a pas encore fini de faire parler d’elle. Face à cette menace, les dirigeants des pays ne cessent de prendre des mesures pour la protection des populations. Il en est de même pour la République Démocratique du Congo qui vit un état d’urgence depuis le mardi 24 mars 2020, décision annoncée par le Chef de l’État lui-même, Félix TSHISEKEDI TSHILOMBO.

L’état d’urgence est un régime exceptionnel adopté par un gouvernement en cas de péril imminent d’un pays. Pendant cette période, certaines restrictions aux libertés fondamentales sont observées. En RDC, l’état d’urgence est décrété par le Président de la République conformément aux dispositions des articles 85 et 144 de la Constitution.

Les avions, navires et autres moyens de transports (Camions, bus, minus bus…) constituent encore un risque de contamination au COVID19.

Les dirigeants qui estiment que les citoyens condamnés à rester dans les régions déjà menacées par la maladie doivent rentrer au Pays, prennent de grands risques au moment où des efforts sont conjugués pour réduire sensiblement la propagation du virus.
Une étude (que je joins ICI) renseigne que le virus (similaire) peut durer des jours avant d’être détruits. En plus, une analyse personnelle, au regard des tests effectués, me pousse à croire qu’une personne infectée aujourd’hui peut propager le virus aussi longtemps que les symptômes ne se manifestent pas.

Étant donné que les marchandises sont soumises à une manipulation humaine, les avions, navires, véhicules… le danger est permanent.

Dans cette logique, la République Démocratique du Congo comme nul autre pays ne devrait autoriser les rapatriements des expatriés en cette période de confinement pour les uns et en état d’urgence pour d’autres.

Invention ou naturel, le COVID19 est réel et aucune négligence d’État ne devrait être commise.

KITWAMBI MUFUNGA Jean-Baptiste
Politologue et Blogueur

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